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Et encore...

7 juin 2006 3 07 /06 /juin /2006 23:30

La réponse est :
Huile sur toile:

 Allégorie de la Sculpture : Musique musique
de
Gustave Klimt
*
A bientôt...

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3 juin 2006 6 03 /06 /juin /2006 00:02

A deux reprises, je vous ai proposé de partager certains
sentiments de similitudes d'ambiance entre plusieurs créateurs.
J'ai été encouragée à continuer l'expérience.
Une nouvelle catégorie est donc mise en route : "chassé-croisé"

*
Vous souvenez-vous de mes récits sur ma visite au musée d'Arts modernes ?

J'y avais visité la magnifique exposition sur Pierre Bonnard.
Je vous avais également fait part de "similitudes" de certaines toiles de Bonnard avec certaines ambiances d'autres peintres.
(voir "
Quel bonheur ce Bonnard")


En sortant, je voyais un square étonnant que je vous faisait également visiter
Le Square Brignole Galliéra


Voici donc à nouveau une photo de cette visite
(que je vous engage à revoir totalement sur le lien du square)


Et bien j'ai découvert cette toile d'un des peintres que je vous citais à propos de Bonnard.....
Je trouve que ces deux "clichés" ne sont pas vraiment étrangers.
Qu'en pensez-vous ?

Cette toile date de 1889.
Allez, à vous les propositions.
Je vous répète que j'ai déja parler de ce peintre.



Je propose au premier gagnant de choisir le prochain sujet à traiter....
A bientôt...

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28 mai 2006 7 28 /05 /mai /2006 00:01

Vous souvenez-vous de cette page sur les similitudes de peintures ?
Je vous faisais part de mes sentiments de ressemblance entre tel ou tel peintre,
Ou du moins entre telle ou telle peinture.
J'aimerais vous proposer à nouveau deux peintures, 
L'un des auteurs était sur cette dernière page.
Je vous laisse juger par vous même.
Je vous en révèlerai les auteurs qu'après leur exposition.


La patinoire


Femme assise sur un divan

Réponses :

La Femme assise sur le divan est de :  Toulouse Lautrec
La Patinoire est de :  Pierre Bonnard

Avez-vous ce même sentiment de ressemblance ou "délire-je" ?

Et puis je ne puis résiter à vous remettre une musique que j'avais envie d'entendre ce matin
Hugues le Bars qui a fait un montage avec une interview de
Sonia Rykiel.
J'envoie
La platine


Qu'en pensez-vous ?  A bientôt...
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27 mai 2006 6 27 /05 /mai /2006 09:15

... Quand j'étais enfant, les "grands" disaient souvent:
"Il ne faut pas se moquer de ... çà pourrait t'arriver !"
Etant adulte, j'ai souvent pu vérifier que nos anciens...
A suivre...
 ICI !!!
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20 mai 2006 6 20 /05 /mai /2006 00:00


Lors du récit de ma visite au musée des Arts Modernes pour l'exposition Bonnard,
Je vous avais fait part de similitudes entre quelques unes de ses toiles et de certaines Peintures de Klimt.
Voici un exemple pour argumenter mes impressions tout à fait personnelles ...
(et que je partage entièrement...)

Voici "Le Peignoir"

Photo(Oui, il y a des odeurs de Lautrec, c'est certain !!!)


Et "Le Baiser" de Klimt


L'image « http://parasitemort.joueb.com/images/klimt-the-kiss.jpg » ne peut être affichée, car elle contient des erreurs.

Qu'en pensez-vous ? 


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18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 15:58

J'ignore si vous connaissez cette émission en clair sur Canal + :
"La Matinale"
Très fréquemment j'en regarde les 30 premières minutes.
J'ai les nouvelles en 5 minutes,
Les Unes des journaux en 5 mn,
Et surtout l'intervention de Marie Colmant que j'apprécie particulièrement.
Ensuite vient la rubrique :
"Quoi de neuf"
Mise à part la plastique attrayante de la chroniqueuse,
Son talent consiste uniquement à lire les fiches techniques des éléments présentés.
Et quand ses "collègues" lui posent des questions sur ces mêmes "nouveautés",
Nous frôlons souvent le ridicule...
La plupart de ces "nouveautés" ont souvent déjà fait l'objet d'une présentation chez d'autres médias ou sur d'autres chaînes...
C'est plus du "neuf"... C'est de l'occase.
Quand on regarde l'émission au 2ème degré, je vous assure que cela vaut son pesant d'or...
Mais ce matin, nous avons eu droit à une véritable perle !!!
Un SCOOP !!!
Une invention génialissime !!!





Et oui,
Vous avez bien lu !
Enfin on a inventé les couches lavables !!!









Voila les objets du délit :
Clicquer sur les couches
et vous serez sur leur site...






Qu'en pensez-vous ?...


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8 mai 2006 1 08 /05 /mai /2006 18:48
Bon, je me lance :

Je récapitule, Vendredi, je me suis donc rendue à la fameuse "Sérénité". Résignée. "Allez ma vielle, il faut y aller !" me disais-je. Oui, il y a certains moments dans la vie, où il faut se parler sèchement, autoritairement, sinon, on ne peut plus se dominer !!! Alors je me suis obéi et j'y suis allée à reculons certes mais j'y suis allée !
Je vous ai pris une photo de la porte d'entrée :
Allons-y, il est 12.35 Hr, je ne peux plus reculer.  La Maison est superbe, et je me suis dis que plutôt que de longues descriptions, il fallait mieux que je vous la montre. Seulement, il y avait déjà quelques personnes, alors, à la sauvette, j'ai volé un cliché pas trop bien cadré mais, j'ai fait ce que j'ai pu...

C'est pas mal non ? 
Vous avez remarqué, comme moi, qu'il y avait déjà 3 personnes présentes. En m'approchant davantage je m'aperçu que deux tables étaient déjà dressées dans ce jardin. C'était donc un fait, par cette journée magnifiquement ensoleillée, nous allions manger dehors... 1er Bon Point. Quand je fus au niveau des ces "Dames", je leurs ai présenté mes salutations puis poursuivis ma marche vers l'intérieur. Je voulais rencontrer la jeune femme responsable de l'intendance des lieux. "Vous avez vu, nous allons manger dehors, il fait tellement beau..." (Jean-Marie Bigard aurait répondu "ben non, j'suis miro, sous la neige j'ai pas pu voir les tables...")
    -  "Vous connaissez la présidente ?" me demanda-t-elle.
    -  "Oui, je l'ai déjà rencontrée lors de la Galette des rois".
Et, sortant d'une pièce, LA Présidente vint vers moi pour me saluer. "On" l'avait averti que je venais prendre mon repas..." (Cà y est les amis, j'étais déjà fliquée !!!) Je ne vous parle pas du sourire de Madame la Présidente !... Rien à redire. Coiffée, "propre-sur-elle", Bon Chic Bon Genre.
  Parfait. Impeccable. Un peu hyperactive à mon goût, mais je pense que c'est ce qui convient à ce rôle. Il me serait impossible de vous redire dans l'ordre sa phrase qui ne dura que 3 secondes et qui exprimait son plaisir de me voir, son regret d'être en retard (?), et qu'elle allait revenir de suite, tout en disant aux autres qu'elle allait faire une course... Une tornade qui brasse beaucoup d'air comme son nom l'indique...
La jeune dame me dit que je pouvais me mettre à "cette table" me montrant la table de 6 couverts encore inoccupée. J'avoue que la pensée d'aller à l'autre table avec ces 3 dames d'un âge certain, n'était pas réjouissante du tout !... 2ème Bon Point. Ne voulant pas m'asseoir seule à cette table, je rodai entre jardin et maison, enlevant mon sac à dos, le posant sur le dossier d'une chaise, ... puis c'était le tour de ma veste... quand une femme tout de blanc vêtue, pantalon et blouson jean, blonde filasse, les yeux bien maquillés (surtout bien "Kholés") d'âge ... indéterminé vint vers moi et me salua. Je commençai à me sentir moins seule. Au total nous étions 5, (je vous rappelle que nous devions être 11). Et une autre dame sortit de la maison (et de 6), "Bonjour...", Puis un couple franchit le porche d'entrée du jardin, (et hop, 8). Ce couple était vraiment charmant. Monsieur en jean et veste en tweed,  foulard de soie dans l'ouverture de sa chemise blanche, Cheveux d'un blanc !... Mais d'un blanc !!! Magnifique. Coiffure genre Jean Marais sur le tard. Il ne m'a pas fait de baise main, mais c'était tout juste. Sa Dame, élégante, mais simple. Un visage très souriant et discrètement distingué. Contrairement aux autres, ce couple ne vient manger que "parfois".
La jeune dame vint nous inviter à passer à table, et me plaça (je l'en remercie) entre ce couple. La Dame avait un léger accent mexicain qui accentuait le charme de sa voix et de sa conversation. Nous avons parlé de "balades" dans notre ville et nous nous sommes trouvé des connaissances (de maisons) communes. En effet, ce couple habite dans un quartier où j'aime allez promenez mes bottes pour y tirer des "coups de Canon". Les maisons d'architectes y foisonnent.
Et blablabla... et blablabla...  Puis, un Monsieur arriva, en retard, c'était Monsieur LE Président. (Le mari de LA Présidente). Les voix de toutes ces femmes se chevauchaient pour exprimer leur étonnement de le voir seul... mais sa femme n'était-elle pas allée le chercher... ah bon ?... Bref, j'avais l'impression d'être dans un poulailler ! Seul "mon" couple et moi-même  restions  calmes et silencieux. Le Président, vêtu d'un costume cravate (normale pour un président)
passa serrer la main à chacune et chaque. Il semblait, tel un jeune coq, très fier de cette envolée de basse-cour. La dame en blanc lui fit une espèce de cour vulgairement humoristique du style "votre femme n'est pas là ... vous allez enfin pouvoir vous asseoir près de moi..."  Bon vous connaissez ce genre de scène.
Les carottes râpées étaient arrivées, ce couple et moi-même les avions préféré à ce flirt désolant qui se déroulait à notre table. Et enfin, LA Présidente revint. Re-envolée de la basse-cour : "...mais l'on croyait que vous étiez parti chercher votre mari... etc...". Je ne comprenais rien à ce scénario ! Normal, on ne m'avait pas donné le texte !...
Ils se mirent à table, mais nous (le trio), avions terminé les carottes en ayant très agréablement partagé nos idées sur des balades. Le plat principal arriva (poulet rôti ratatouille) quand la Présidente s'assit, seule à notre table (on époux  partageait  l'autre  table). On lui amena dignement ses carottes râpées enrichies de tomates (elle !). Et, vous vous en doutez, elle prit part à notre conversation. Ah les balades !  "La semaine dernière, nous sommes allés au Mont Valérien visiter le fort... nous sommes montés à pied... nous avons bien marché 2 heures..."  Et elle termine par : "Si cela vous intéresse, tous les mardis nous faisons une balade". Très poliment, j'ai répondu :"Surtout je ne voudrais pas vous vexer mais une balade je la fais toujours seule, c'est un moment sans parole pendant lequel je peux penser et surtout marcher à mon propre rythme en toute liberté".  Elle répondit qu'elle comprenait, mais, entre vous et moi, je crois bien je j'avais un peu cassé l'ambiance... 1 Bon Point en moins ! Je vous épargnerai la suite des sujets de conversation, ils furent nombreux et divers rondement menés par l'hyperactive Présidente. J'étais littéralement saôulée par tous ces bavardages, et surtout par la présidente "meneuse de troupe" qui promotionne à tout va les prochaines manifestations de SON club telles loto, Pot au feu party, déjeuners à thèmes, concours de cartes... Je fus soulagée quand Le couple sa leva pour quitter les lieux. Je pourrai donc continuer la "levée des corps" sans être impolie. J'attendis toutefois qu'ils nous ai salués puis quitté le jardin. Et au moment où je me levais pour saluer tout le monde, on me proposa de faire une partie de belote. J'utilisai  les formules les moins vexantes pour justifier mon refus. Alors, la Présidente en profita pour me proposer de participer à un futur tournoi de scrabble...
Je ne doute absolument pas de la chance de ce club d'avoir une présidente aussi efficace, aussi alerte et conviviale. Tellement de personnes sont demandeuses de tels services. Et puis, la convivialités des membres adhérents est évidente. En un mot, l'existence de ce lieu est vraiment une aubaine pour notre ville.
Bon, J'arrête ! Respiration profonde... très profonde...
Quand j'ai remonté la pente vers le porche, je me sentais de plus en plus légère, j'allais vers la liberté, je me sentais sereine, j'allais enfin vers MA Sérénité. J'en concluais que la sérénité avec un maître, ce n'est pas pour moi.
Avant de franchir le porche, je prenais une dernière photo du décor de cette petite pièce dont vous pouvez apercevoir quelques personnages sur la terrasse en train de jouer à la belote.


Y retournerai-je ?  Je pense que oui, en espérant y revoir "mon" couple. Et de toutes évidences dans ce lieu convivial, il n'y avait aucune méchanceté (apparente en tous cas...)

L'expérience est terminée. C'est beaucoup plus clair dans ma tête, je ne supporte vraiment pas que l'on s'occupe de moi, que l'on veuille m'assister, bref, je ne pense pas que cela soit de l'inaptitude à la sociabilité mais uniquement le désir d'un libre choix.
Et vous ? Qu'en pensez-vous ?

PS: J'oubliais, comme plat principal elle a eu droit à une tranche de jambon avec... des frites ! Elle !

 
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5 mai 2006 5 05 /05 /mai /2006 08:16

Aujourd'hui, je vais tenter une expérience :

Mais auparavant, je dois revenir en arrière. Comme vous le savez, je n'ai que 62 ans... La commune dans la quelle j'habite, est "ben gentille" avec ses vieux. J'ouvre une parenthèse : ("Les Vieux", "Seniors", "Non jeunes" (on dit bien les non-voyants !), bref les "no more actifs", C'EST LA MÊME CHOSE !!! Appelons un chien un chien et non pas une chatte ! Ce ne sont que des mots.)
Revenons à l'essentiel : La commune disais-je, leurs présente une multitude d'avantages. Tout d'abord les aides administratives et sociales courantes, des sorties et des activités ludiques ou intellectuelles ou sportives (!) dans des "Clubs". Il y en a cinq répartis géographiquement répartis sur la ville.  Rien que les noms de ces lieux me font rire , voyez plutôt :
    -  Club de l'Amitié
    -  Club du Sourire
    -  Club de la Bonne Humeur
    -  Club de la Rennaissance (Et oui, ils nous ont mis 2 n...) 
    -  Club de la Sérénité
Allez, délirons un peu : imaginons que vieillesse étant l'antonyme de jeunesse, les clubs de jeunes pourraient donc se nommer :
    -  Club de l'Antipathie
    -  Club du Sanglot
    -  Club du Cafard
    -  Club du Déclin (ou Club de "la Mort")
    -  Club de la Terreur
Au début de l'année, de crainte de devenir asociale (donc sauvage, incommode voire acariâtre !) en restant trop souvent devant mon ordinateur, j'ai pris la courageuse décision d'aller m'inscrire à un de ces clubs. Mon choix s'est porté sur celui qui ressemblait le moins à une "usine". C'est à dire une maison individuelle, dans un jardin. Evidemment, il se trouve être celui qui est le plus éloigné de chez moi. Pour moi, c'est plutôt un avantage car ainsi, je diminue le risque d'y retrouver des voisins et d'avoir l'obligation de papoter. J'étais résolument décidée à y pratiquer une occupation telle que reliure ou yoga..., et de participer à quelques "virées" intéressantes. Ce jour d'inscription, j'en profitais pour acheter une dizaine de tickets repas. Et oui, ils servent des repas le midi. A la mi-janvier, une "galette" y était organisée. Je me suis dit que c'était le moment ou jamais d'oser y aller.... Je me suis retrouvée avec une ribambelle de ... de ... enfin des gens ... bref, il y avait une palette assez diversifiée de personnes âgées. Classes sociale : variée mais surtout vers le haut (et oui, la ville étant assez résidentielle, beaucoup de vielles familles aiment se montrer, se rencontrer, jouer plus au bridge qu'à la belote). Bien entendu surtout des femmes... et quelques couples.  Tout ce petit monde était habillé "en dimanche", coiffé-crépé-parfumé en veux-tu en voilà. Personnellement, sans être sale, je n'étais habillée qu'en pantalon du mardi avec une chemise correcte sans plus. Il y avait "des vieux qui se cramponnent", des femmes qui tentent de compenser le total de leurs années par une accumulation de produits cosmétiques, et Dieu merci quelques autres qui semblaient très heureux et touchés de pouvoir bénéficier d'un fructueux goûter. Vous savez, ces gens qui ont un regard attirant.
Mais pourquoi je vous raconte tout ça déjà ? Ah oui, bref, ce jour-là, je me suis sentie dans un monde complètement étranger. Vous avez sûrement vécu ce genre de situation qui vous pousse à monologuer intérieurement : "Mais qu'est-ce que je fais là !!!"
Certes tout le monde était avenant, poli, bien élevé quoi, mais je ne me sentais aucun point commun avec eux. En fait, comme beaucoup d'autres, je n'ai pas encore réalisé que j'ai le même âge que certains d'entre eux, et je n'ai pas la moindre envie de faire des efforts dans ce sens. Par la suite, j'ai pensé qu'il était peut-être trop tard, que j'étais tombée dans l'incommunicabilité à tendance acariâtre... Et puis je me suis vite ressaisie, en concluant que non, ce n'était pas mon truc d'aller jouer au bridge, d'aller au musée accompagnée et être obligée de m'expliquer sur tel ou tel sujet, d'aller "en car" faire des virées (et de chanter en choeur : Sous les ponts de Paris, ou Le doux Caboulot, ...), et qui sait, ... parler politique ... AH NON !!!
Revenons à Aujourd'hui et l'expérience du jour:
J'ai toujours en ma possession mes 10 tickets repas et je trouve insensé de ne pas les utiliser. Alors, très courageusement, hier je suis allée réserver une place pour aujourd'hui.
J'avoue que ce qui a facilité cette décision c'est l'objectif d'en écrire le récit pour vous...
La seule chose que je puisse dire à l'heure actuelle, c'est que nous serons 11 personnes... Que je devrai y être à 12.30 Hr.
J'espère que vous aurez compris "la manoeuvre". Alors je dois vous quitter pour le moment, sans avoir trop le temps de véfifier mes fautes d'orthographe. Je ferai cela à mon retour. Pour la suite, j'espère avoir le courage de m'y mettre dans l'après-midi, sinon, à demain...
Donc, à suivre...
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2 mai 2006 2 02 /05 /mai /2006 05:58
*
J'aimerais offrir cette page à ma petite nièce dont c'était l'anniversaire ce 28, et
À
Julie pour célébrer son retour.
*
Vendredi 28,
Cinq heures du matin. Il fait 6 degrés !!!
Je vais encore devoir user d'une stratégie follement hypocrite pour contourner l'obstacle suivant :
Je dois marcher tous les jours !!!  Depuis quelques jours, j'utilise la ruse de la fatigue, de la pluie ou .............. à suivre....
ICI !!!
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25 avril 2006 2 25 /04 /avril /2006 17:38

Je me permets de vous conseiller d'écouter "le son du jour" pour agrémenter la lecture de cette page ...


Bonjour,

Il y a quelques temps, je suis allée chez un ami (garagiste) pour qu’il me change enfin le câble du compteur qui n’avait jamais fonctionné !!!  Mais non, pas Mon câble... (À mon âge on n'en a plus besoin, pff) mais celui de mon AX.   Et puis, il m’a également remis mon pare-choc avant et changé le clignotant que m’avait délicieusement heurté un(e) anonyme salop(e) voici bientôt 3 mois !!!

Il habite dans l’Yonne, à 100 km.  Je me suis rendu compte que je n’avais pas été à la campagne depuis … ouf … au moins !  (Au retour, ce fut un délice de découvrir, enfin, à quelle vitesse je roulais quand j’étais à 3.000 trs en 5ème, quand il y avait tel ou tel bruit, … etc.)
J’avais rendez-vous à 10 hrs je quittai donc ma ville vers 8.15 h.  Parcours habituel, direction Palaiseau, Chilly… autoroute.
Le thé matinal aidant, je fus prise de l'envie pressante de vider ma vessie. J’abordai donc une aire de repos avant le péage de Nemours, là où je devais sortir.

Je donne les recommandations d'usage à mon AX avant de la quitter pour quelques instants.
Puis, j’avançai vers une sordide cabane  « amoniaqualement parfumée ».  Plus de porte, cuvettes à la turque, bref, un - 5 étoiles.  La première « stalle » avait toutefois une porte que je n’avais pas vue ; bien évidemment, sans verrou ni poignée.  Aidée par mon optimisme légendaire, et surtout mon envie pressante, je pénétrai dans cet antre paradisiaque. La stratégie était la suivante : faire vite afin de réduire les chances qu'un autre visiteur ait le même courage que moi, mais surtout de limiter mes respirations... Je me retournai, déboutonnai mon pantalon et reculai en écartant bien les jambes afin que mes pieds soient parfaitement en place.  Je fis cette manœuvre en prenant bien soin de maintenir mon portefeuille qui se tenait dans ma poche arrière pour éviter le pire.
Vous n’êtes pas fatigués de lire tout ce charabia ? !!!   Allez, une p’tite pause. 


On continue... je m’accroupi, et là, j'aurai la décence de ne pas vous décrire le délice que nous connaissons tous à libérer son corps de toute contraintes et interdictions pour ne plus résister à une envie si pressante... (
Ouf ! elle était longue cette phrase ...)  ET LA, le gag N° 3227 est arrivé...

Je l’ai vécu !

Je récapitule : aux aguets du moindre bruit suspect, la main droite sur le portefeuille et pantalon, la main gauche soulevant l’arrière de la chemise et de la veste.  Et alors ???...Ben il me manquait tout simplement une 3ème main pour maintenir dans la poche du haut mon portable attaché au kit piéton !!!....  Il glissa, … délicatement de ma poche, puis, légèrement freiné par le cordon, il suivit le magnifique et si accueillant toboggan de cette cuvette..., se détacha... et enfin atterrit dans le TROU…  Je continuais à déverser mon « envie » dans ce même trou, car vous le savez bien, rien ne peut arrêter ce déferlement.  « Quand que c’est pas terminé, … c’est pas fini…".  Une sensation étrange m’envahit, je pissais sur mon téléphone. Je ne savais pas si le siphon était profond.  Je devrai y mettre la main, et bien évidemment... il n’y avait pas de papier. Quand les dernières larmes de ma vessie furent versées, je ne pu m’empêcher de pouffer de rire car cette situation était vraiment burlesque.
Le siphon n’était pas trop profond.  Je tirai la chasse d’eau rapidement sur ma main tenant le téléphone, posai le tout par terre, de l’autre main je cherchai un kleenex dans une poche. Puis je me suis reculottée.  Je terminai un bon rinçage de main et de téléphone au robinet d’une « auge » qui se trouvait près de la sortie.
De retour dans l’AX, je me sentis nettement mieux, je n'étais plus seule et puis j'ai enfin pu prendre un paquet de mouchoirs que AX avait dans une boîte. J'ai alors pu démonter l’objet du délit, le secouer, l’éponger, bref, « il pissait l’eau ».  Bien évidemment, rien sur l’écran.  Mais le croiriez-vous, j’avais un deuxième téléphone avec moi.  En effet, ne captant pratiquement plus le réseau chez moi, j’avais déterré mon ancien appareil, et acheté une nouvelle pile trois jours auparavant.  J’avais réalisé que son emploi était très confortable. (C’est dans les vieux pots que l’on fait les bonnes soupes !)
Je récupérai donc la carte SIM, et hop là ! C’est reparti. 
Le lendemain, je constatai que le p’tit pisseux ne voulait  rien entendre, et ne rien voir. La pile devait être court-circuitée ou ???
J’en conclue deux choses :
    -  Les toilettes turques sont vraiment très bien conçues, vous pouvez laisser tomber n’importe quel objet, il arrivera irrémédiablement dans le trou.
    -  Parfois il est inutile de dire « Allo », il y va directement.  Et il est également superflu de demander « Où t’es ? »
Pourquoi vous ai-je raconté tout cela ?  J'aurais pu tout simplement écrire : « J’ai fait tomber mon portable dans les toilettes ».
Mais, quand j'ai lu les petites histoires  que Titia  narre sur son blog, j'ai retrouvé le plaisir que j'éprouvais quand je "mailais" mes "p'tites" balades à ma famille.
Alors, j'espère que ce plaisir sera partagé par d'autres. Dans ce cas, dites-moi ou sinon, ... je passerai à autre chose.

Le reste de la journée fut efficacement rempli.  La balade dans l'Yonne me fît un bien fou et j'ai réalisé que je restais bien trop longtemps fixée devant mon ordinateur.
La campagne est belle et je crois que je vais m'offrir des petites virées plus fréquemment.  La conduite et le changement d’air nous ont revigorées moi et AX. Et puis, qui sait, le printemps arrivera peut-être... ?
En attendant, comme aurait dit Titia, AX et moi-même vous saluons bien bas.

PS : Si pareille aventure vous est arrivée, exhumer vite votre téléphone de la boîte où vous l'aurez enterré.  En effet le lendemain, j'ai tenté une dernière  opération avant des adieux définitifs.  Je l'ai branché sous assistance respiratoire et voici le résultat :



Etonnant non ?
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